De nombreux commerçants disent que son activité est faible dans les mois précédant l’élection présidentielle. Mais lorsqu’il s’agit d’une combinaison d’une crise sanitaire apparemment sans fin, d’une crise géopolitique en Ukraine et d’une crise économique, nous nous retrouvons dans une situation unique. « C’est comme un dimanche tous les jours », explique le gérant d’un magasin de Selestadian.
Des soldes en berne

C’est en décembre que ce dealer de la ville a vu le premier signe. « La semaine après Noël, les ventes ont fortement chuté », souligne-t-il. Avant d’ajouter : « Et ça ne s’en va jamais. Traditionnellement, les mois de janvier et février sont plutôt calmes pour le trading, sauf pendant les soldes.
« Mais là, c’était affreux », assure cet autre commerçant de l’hypercentre. Et les ventes n’ont pas bougé. « Quand j’ai lu 6 articles dans…
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