« C’est une arnaque » : malgré une mutuelle dentaire, il est privé de remboursement

Pour les soins dentaires, Hervé a souscrit une mutuelle complémentaire auprès d’un courtier en assurances. Mais après l’opération, sa santé a finalement refusé de le payer, confirmant qu’il n’aurait pas dû souscrire à une mutuelle complémentaire à son insu.

Hervé est très en colère contre le coût de sa santé, notamment ses soins de santé qui sont souvent plus chers. Récemment, deux couronnes ont été placées sur ses dents, moyennant des frais importants : 1 300 €. Pour être payé à 100%, il s’est tourné vers la super-mutuelle. Pour faire simple, la complémentaire santé est une complémentaire santé.

Hervé a donc signé avec Praeconis la formule à 80€ par mois, qui couvre tous les frais. Une fois le contrat signé, il a commencé à prendre soin de lui. Mais quand vient l’heure de payer à nouveau, c’est l’eau froide : « Ils me disent que selon l’article de 1964 de la constitution, avant de prendre une mutuelle, je n’ai pas besoin de savoir que j’ai des soins médicaux à faire », a expliqué à RMC .

Il n’a donc pas reçu l’argent et en plus il a continué à payer l’argent supplémentaire pendant plus d’un an avant d’avoir la possibilité d’annuler.

La faute à un courtier en assurance?

L’un et l’autre ont-ils vendu l’offre à Hervé en sachant qu’elle ne serait pas en mesure de le payer ? C’est un peu plus compliqué que ça. Ce n’était pas l’autre qui vendait les contrats à Hervé mais un courtier d’assurance, un intermédiaire, qui vendait les contrats Praeconis de l’autre.

À Lire  Problèmes de vue : les jeux vidéo remplacés par la sécurité sociale

Et le président de cette mutuelle, Loic Biver, a clairement mis en cause ce dealer. « En effet, nous avons des plaintes concernant ce type de rejet mutuel qu’ils peuvent donner. C’est un problème juridique entre clients et revendeurs, et là la plainte doit être déposée par le revendeur, c’est lui qui perd son client ». « , il expliqua.

Le courtier en question s’appelle Ritchaard Santé. Très contrarié par les accusations portées contre lui, son directeur a confirmé qu’il n’avait pas son mot à dire dans la vente du contrat. Selon lui, ils doivent donc rendre l’argent à Hervé.

Devant l’insistance de RMC, Praeconis a finalement accepté de réexaminer le dossier d’Hervé mais sans aucun engagement. Le dealer lui assura qu’il était du côté d’Hervé. Il a également promis de revoir son dossier et d’intervenir en son nom auprès de la mutuelle. « Nous ne pouvons pas permettre au client de cotiser plus d’un an pour rien », a déclaré Ritchaard Santé, directeur du RMC. À suivre…