Publié
le 16/12/2022 à 18h48
Un accord mondial qui prévoit la protection d’une partie de la planète, la restauration de millions d’hectares de sols dégradés ou la réduction de la pollution plastique est en discussion à la COP15 à Montréal sur la biodiversité.
La COP de Montréal sur la biodiversité entre dans sa dernière ligne droite. Après une semaine de négociations menées par les délégations des 196 pays membres de la Convention sur la Diversité Biologique (CDB), les ministres de l’Environnement sont arrivés sur les lieux pour tenter de parvenir à un accord définissant une ambition commune jusqu’en 2030. L’enjeu est de collectivement s’engager sur des objectifs chiffrés et des mécanismes de suivi de ces objectifs, en vue d’enrayer l’érosion de la vie sur Terre.
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Comme cela s’est produit cette année lors de la COP27 pour le climat en Égypte, ce sommet met en lumière une division tenace entre les pays du Nord aux grandes ambitions et ceux du Sud, où se concentrent les écosystèmes les plus riches et les plus variés, mais qui refusent de sacrifier leur développement. pour cette cause. Mardi soir, des délégations de pays en développement ont marqué l’occasion, sortant ostensiblement des séances de dialogue consacrées à la mobilisation des ressources…
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