Haise : « J’espère ne pas trop saouler les joueurs ! » »

Pour sa première saison sur le banc de Ligue 1 Uber Eats, le RC Lens a terminé 7e. Avant de terminer à nouveau 7e la saison dernière. On dit souvent que le plus dur dans le football est de confirmer. Est-ce encore plus difficile de reconfirmer?

Dans le football, il faut confirmer chaque saison, c’est évident. Mais en plus de confirmer chaque saison, vous devez confirmer chaque week-end, que ce soit l’équipe, les joueurs individuels ou l’entraîneur. C’est le point de départ, tout le monde le sait et essaie de suivre les règles du jeu… Alors cette saison on va essayer de confirmer encore !

Sommaire

« Cet été, on n’a fait signer que des joueurs du haut de nos listes »

« Cet été, on n’a fait signer que des joueurs du haut de nos listes »

Sérieusement, quels sont les objectifs du RC Lens cette saison ? Vu la taille du club, jusqu’où penses-tu pouvoir aller ?

Il n’y a pas de limite à se fixer, tout en restant conscient de nos moyens et des moyens des autres. Nous sortons d’une très grosse saison car nous avons terminé 7e du tableau et confirmé la saison dernière. Surtout, nous avons terminé 7e avec 62 points, 5 de plus que la saison dernière, ce qui est assez gros. Et pourtant, on n’a pas fini européen. Quand on regarde les six équipes qui ont terminé devant nous, c’est logique. Il y a une sorte de logique avec un grand top 5 et Strasbourg, une équipe qui nous ressemble même si le club a été monté en Ligue 1 quelques années avant nous. La 5e place du classement revient à Nice, avec 66 points, ce qui montre que c’était une saison particulière. Mais il ne faut pas se fixer de limites, d’abord dans le jeu, comme c’est le cas depuis deux ans, et dans la vie de groupe, dans la cohésion qu’on a réussi à mettre en place depuis notre retour en Ligue 1. Il ne faut pas se fixer de limites tout en maintenant ce qui est loin d’être évident.

Contrairement à de nombreux clubs du Championnat, le RC Lens a avancé très vite au mercato…

« On suivait Loïs Openda depuis plus de trois ans »

« On suivait Loïs Openda depuis plus de trois ans »

C’est un réel avantage, je pense. Nous avons réussi à progresser rapidement, et avec les recrues que nous souhaitions. Nous recrutons toujours les joueurs que nous voulions faire venir, mais parfois le joueur qui arrive en premier n’est pas sur notre liste. Cet été, nous n’avons recruté que des joueurs qui étaient en tête de nos listes. Cela nous a permis de les avoir à disposition dès le départ ou pendant les premiers jours de préparation. Nous avons déjà plusieurs semaines de travail ensemble, même si certains ont repris un peu à contretemps car ils avaient disputé la dernière trêve internationale ou revenaient de blessure, comme Jimmy Cabot. Il fallait commencer fort, mais intelligemment, sans rogner. Mais il est certain que c’est un très gros avantage d’avoir ses recrues sur l’extraction. Il leur permet d’assimiler les principes du jeu et la méthodologie d’entraînement, de connaître plus rapidement leurs nouveaux partenaires.

Vous avez parlé des listes que vous dressez. Pouvez-vous détailler le processus de recrutement au club et toute la chaîne qui peut exister ?

Sans divulguer de secrets, je peux dire qu’il y a une chaîne assez courte, avec une cellule de recrutement autour du directeur sportif Florent Ghisolfi. Nous avons des gens très compétents qui viennent d’horizons différents, sans trop en dire. Des réunions de recrutement se tiennent très régulièrement tout au long de la saison. Il y a des joueurs que l’on suit depuis plusieurs années. Ce qui compte quand on prend la décision finale sur un joueur, c’est qu’on soit tous parfaitement alignés : la cellule recrutement, Florent Ghisolfi et moi.

Pouvez-vous nous donner un exemple de joueur que vous suivez depuis longtemps ?

« La psychologue ? 95% des joueurs sont réceptifs »

« La psychologue ? 95% des joueurs sont réceptifs »

Florent a déjà expliqué que lui et la cellule suivaient Loïs Openda depuis ses débuts avec Bruges (été 2018). Ça se passe souvent comme ça. Les joueurs vous marquent et vous continuez à les suivre, que ce soit de manière très intense comme ces derniers mois pour Loïs ou un peu moins régulièrement. Pareil avec Jimmy Cabot, que j’ai rencontré à Lorient, ou Wesley Saïd, que j’ai suivi depuis sa formation à Rennes. Nous suivons toujours le parcours et l’évolution des joueurs qui attirent notre attention à un moment donné, par exemple Jimmy Cabot et son temps comme tampon la saison dernière avec Angers. Selon les performances et les contextes, nous accentuerons ou diminuerons ce suivi.

Parmi vos recrues estivales, vous avez notamment noté les arrivées de Łukasz Poręba, Adam Buksa et Loïs Openda, qui ne sont pas issus d’un des cinq grands championnats. Pouvez-vous nous en dire plus sur ces profils ?

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Nous suivons Łukasz Poręba depuis le début de la saison dernière. Il n’a que 22 ans, mais il a déjà joué plus de 100 matchs en Ligue 1 polonaise. Il a beaucoup de choix avec les équipes de jeunes en Pologne, dont les Espoirs dont il a été capitaine en juin. C’est un milieu de terrain avec un gros volume de courses et un vrai toucher de balle, la capacité de voir vite, de trouver des passes qui cassent les lignes, qui trouve de la profondeur. Il a aussi une belle variété de surfaces de contact car il a un bel extérieur du pied, ce qui est rare de nos jours. Avec Łukasz on est dans une démarche d’intégration progressive car il est jeune, il quitte son pays pour la première fois, il y a la barrière de la langue même s’il se débrouille bien en anglais… Mais sur le terrain on voit déjà que c’est un garçon intelligent, qui comprend vite et qui est très attentionné.

Et Adam Buksa ?

Comme beaucoup de clubs, nous suivons de nombreux championnats différents. A Lens, on suit notamment la MLS, où l’on a vu Przemysław Frankowski, arrivé l’été dernier. On a très vite aimé Adam car son profil est différent de nos autres attaquants. On peut penser qu’il a quelques similitudes avec les joueurs de l’équipe, mais pas complètement. Il est déjà gaucher. Il est très bon avec sa tête. Il est à la fois capable d’ancrer le jeu, d’être un joueur d’appui et de déviation tout en étant capable d’éliminer facilement à l’approche de la surface avant d’avoir des enchaînements de qualité et rapides malgré sa morphologie. C’est aussi un vrai finisseur. Et dans son état d’esprit il se bat, il est capable de presser et de contre-presser… Il y a beaucoup de choses positives qu’on voit en Adam depuis qu’on le suit. Vous savez aussi qu’il joue dans l’équipe de Pologne, une vraie nation de football où il y a des gens formidables devant… Ça en dit long. Adam a réussi à marquer dès ses premières sélections, il a pris confiance. C’est quelqu’un qui parle plusieurs langues et qui se débrouille très bien pour le français. Je pense qu’il s’est lancé le défi de maîtriser le français en quelques mois.

« Le pire, c’est la routine »

« Le pire, c'est la routine »

Enfin, pouvez-vous commenter Lois Openda ?

Comme je le disais plus haut, on le surveille depuis plus de trois ans, notamment parce qu’on suit beaucoup les championnats de Belgique et des Pays-Bas, où il a été prêté pendant deux ans. Loïs a un profil que nous recherchions car il est très complet. C’est à la fois un finisseur, capable d’attaquer fort le but de la tête et des deux pieds, mais il a aussi les jambes pour jouer en transition car il est très dynamique et rapide. Ces dernières années, il a progressé dans ses déplacements pour être disponible dans la construction du jeu. Encore une fois, c’est très complet. Le fait qu’il ait eu ses premières sélections pour l’équipe belge en juin le prouve. Il avait déjà été appelé par Roberto Martínez lors de la précédente trêve internationale. Quand on fait partie des 22-23 meilleurs Belges, encore plus en tant qu’attaquant, on vous interroge sur le niveau du joueur. Lois a une grande mentalité. Il a des ambitions. C’est bon pour nous. C’est le profil du joueur, mais c’est aussi le profil de l’homme. Ce doit être ce à quoi nous nous attendons ici. Vous avez peut-être des ambitions et des objectifs personnels, mais vous devez vous mettre au service du collectif et du club.

« C’était Maël, ce n’était pas le fils du coach »

« C’était Maël, ce n’était pas le fils du coach »

L’un de vos prospects a-t-il récemment été abandonné parce que son profil ne correspondait pas à ces valeurs ?

Ça peut arriver, mais quand tu regardes un joueur évoluer sur le terrain, entre ce qu’il fait, ce qu’il ne fait pas et son langage corporel, tu as un certain nombre d’indicateurs. Quand on creuse un peu plus, ces impressions se confirment souvent. Il y a la vidéo et les données bien sûr, mais on aime toujours voir un joueur en direct, depuis le stade, quand on est à un stade avancé. Ça permet de voir tout ce non verbal, les échauffements, son comportement général… Ensuite on recoupe toutes ces informations. Rien n’est garanti à 100%, ce serait trop bien, mais on arrive souvent à récolter suffisamment d’indices sur l’état d’esprit d’un joueur.

Il y a eu quelques changements dans votre effectif à l’intersaison, notamment la nomination de Yannick Cahuzac à la place d’Alou Diarra comme assistant…

Quel est le club le plus riche du monde en 2021 ?

Ce n’est pas une révolution. Derrière Lilian Nalis, très expérimentée et en charge de la construction des séances, ce rôle de seconde assistante ne devrait pas beaucoup changer. C’est juste que Yannick apportera sa personnalité, là où Alou avait la sienne. Ce qui est certain, c’est que « Cahu » a pris le rôle de front. Au bout d’une semaine, nous avons tous eu l’impression qu’il faisait partie du personnel depuis plusieurs années. Son expérience d’entraîneur est courte, mais il a beaucoup d’expérience de jeu. Il connaissait bien les méthodes de nos collaborateurs pour les avoir expérimentées pendant près de trois ans, il avait donc une certaine longueur d’avance. Curieux du jeu et des gens depuis longtemps, son profil correspondait parfaitement à ce que nous recherchions pour succéder à Alou qui souhaitait prendre en charge une équipe. Ça a vite collé avec « Cahu » et c’est comme si ça avait toujours été là !

Travaillez-vous toujours avec un psychologue dans le personnel ?

Quel est le deuxième club le plus riche du monde ?

Elle n’est pas là tous les jours, mais oui, elle y est régulièrement. Il n’y a pas si longtemps, elle était au club pendant quatre jours entiers, par exemple pour discuter individuellement avec les joueurs, les membres du staff qui le souhaitaient… Nous continuons à travailler avec une psychologue, mais aussi avec une diététicienne qui était avec nous. en stage à Rodez pour suivre la restauration dans ce lieu que nous ne connaissions pas. Elle a ainsi été au plus proche du chef et des joueurs pour nous prodiguer des conseils durant cette période de préparation où les températures étaient particulièrement élevées. Les professeurs de yoga continuent d’intervenir au sein du club. On travaille pour que les joueurs aient des compétences autour d’eux, de l’aide… Si ça améliore leur bien-être et donc leur performance, si ça leur permet d’avoir un pourcentage ici et là, ça ne peut pas être négligé.

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Quels sont les 10 clubs les plus riches du monde ?

Depuis quand ces compétences font-elles partie du quotidien du RC Lens ?

Quel est le club plus riche en 2021 ?

Depuis que j’ai pris mes fonctions de directeur de cabinet en février 2020. Comme le confinement est arrivé vite, on n’a pas pu mettre en place tout ce qu’on voulait, mais c’était là dès qu’on a récupéré avant de retourner en Ligue 1. Il y a eu du mouvement parmi ces mais nous avons toujours travaillé avec des professeurs de yoga, des psychologues et des diététistes.

Quel est le joueur le plus riche du monde en 2021 ?

Tous les joueurs sont-ils également réceptifs à parler à un psychologue ?

Qui est le joueur le plus riche du monde 2022 ?

Le point de départ est que chacun peut avoir un ou deux rendez-vous avec notre psychologue pour en discuter. Ce n’est pas une thérapie, mais une discussion. Il peut arriver qu’un ou deux mecs ne veuillent pas passer à autre chose, c’est leur choix, mais 95% des joueurs sont réceptifs et trouvent le moment intéressant.

Quel est le joueur le plus riche du monde actuellement ?

Quant au yoga, l’idée vous est-elle venue parce que vous le pratiquiez personnellement ?

Quel est le club le plus riche de l’Europe ?

Oui, j’ai commencé il y a quelques années à Lorient. Nous avions également mis cela en place avec les pros. Je pense que c’est un bon moment de la semaine pour récupérer, aller à certains postes, mais aussi pour se recentrer sur soi. Les joueurs sont très occupés, tout va très vite autour d’eux. Avoir un moment plus calme, d’introspection, peut être une bonne chose. De la même manière que pour le psychologue, tout le monde n’est pas également réceptif, mais pour autant il y a de plus en plus d’intérêt. Nous n’allons pas convertir tous les joueurs en praticiens de yoga à vie, mais les joueurs écoutent et beaucoup trouvent que c’est un moment de bien-être.

Quel est le club plus riche en 2021 ?

Vous débutez votre troisième saison sur le banc du RC Lens dans la classe reine. Dans le football d’aujourd’hui, de nombreux managers n’ont pas la chance de rester aussi longtemps dans un club. Est-ce plus difficile de faire passer votre message aux joueurs avec le temps ?

Quel est le club le plus cher du monde ?

Je ne parle pas constamment. J’ai la chance d’avoir un personnel compétent et nombreux, ce qui me permet de beaucoup déléguer. Les employés ont des domaines d’expertise que je respecte et que j’utilise. Cela me permet de prendre du recul et d’intervenir séquentiellement auprès du groupe et des individus. J’essaie de choisir mes moments pour ne pas fatiguer les joueurs. Le discours est redondant, nous devons donc nous assurer qu’il est aussi petit que possible. Changer quelques petites choses aide à établir une relation optimale avec les joueurs.

Quel est le pays le plus fort du monde au foot ?

C’est-à-dire?Chaque saison on essaie de choisir un lieu d’entraînement différent, par exemple des activités différentes… Il y a eu des changements dans le staff technique, dans le staff élargi, dans le service performance… Il y a des joueurs qui partent et des joueurs qui sortent cours. Tout cela permet d’éviter qu’une routine ne s’installe. Le pire c’est la routine. Bien que nous nous entraînions tous les jours et que nous ne changions pas de groupe toutes les deux semaines une fois qu’il est formé, nous veillons à ce que les joueurs s’amusent au quotidien et que cela ne devienne pas une routine trop lourde. Les joueurs m’entendent souvent parler, mais j’espère ne pas trop me saouler ! (des rires). Dans tous les cas, nous faisons de notre mieux pour que les joueurs s’amusent mais aussi qu’ils se responsabilisent. Parce qu’ils ont aussi des responsabilités. Je connais le mien et je connais très bien les chiffres du football. Je sais qu’il est rare de passer plus de deux ans à la direction d’un club. Les joueurs ne doivent pas oublier leurs responsabilités, mon objectif est de leur donner quelque chose et qu’ils le prennent. Mais d’après ce que j’ai vu en deux ans, c’est plutôt positif.Votre fils Maël est au club depuis quelques saisons. Ça a dû être un entraînement spécial pour lui ?
Je ne l’ai entraîné qu’une saison au final, ma dernière saison avec la N2. C’était un peu bizarre au début. Nous sommes souvent un peu plus exigeants avec les nôtres qu’avec les autres. Mais avec le recul, ce fut une belle saison. C’était très agréable d’en faire l’expérience. Cela n’arrivera probablement qu’une fois, mais c’était très agréable. Il est certainement plus facile de vivre avec une équipe réserve qu’avec une équipe professionnelle. J’avais un super groupe et on a fait une super saison ensemble. Dans mon staff, Alou Diarra ou Aymen Djedidi traitaient Maël comme n’importe quel joueur de l’équipe. C’était Maël, ce n’était pas le fils de l’entraîneur. A cause de cette situation entre nous, il a ensuite été prêté deux fois, au FC Rouen puis à Boulogne-sur-Mer. Ce n’est pas facile le foot, et là Maël a décidé de vivre une nouvelle aventure. Il a été recruté par l’Université de Central Florida, Orlando, USA. Il est là depuis un mois et demi et il semble passer un bon moment, vivre quelque chose de complètement différent, donc c’est positif. Il a été recruté pour le football car c’est une grande université, et en même temps il a repris des études de commerce. Il est vraiment très heureux de le vivre.Pour finir avec votre fils, n’était-ce pas trop compliqué de passer d’une relation père-fils à une relation entraîneur-joueur ?Evidemment un peu… Je suis fan de foot, mais il l’est encore plus, même à la maison, on a beaucoup parlé de foot ensemble, du jeu, des joueurs… Par contre, on a très peu parlé de la N2 équipe et ses réalisations. Ces discussions ont eu lieu à La Gaillette, mais à la maison ce n’était pas le thème central.
Seko Fofana devrait revenir en équipe de Côte d’Ivoire. Pouvez-vous nous en dire plus ?Ghislain Printant, que je connais depuis pas mal d’années, m’a dit qu’il souhaitait voir Seko avec Jean-Louis Gasset lors de notre stage à Rodez. Nous nous sommes mis d’accord ensemble sur le meilleur moment en dehors des entraînements et des activités pour qu’ils puissent échanger ensemble. Quand Jean-Louis est arrivé, nous avons tous les deux pris un café et parlé football pendant une demi-heure. C’était super de le voir avec un œil pétillant à l’idée de vivre de grandes choses à la tête de l’équipe nationale ivoirienne. Ensuite, Jean-Louis et Seko ont eu une conversation, bien qu’ils se soient récemment parlé au téléphone. Je suis très content que Seko retrouve la sélection, qu’il puisse s’y immerger pleinement. Il était attendu. Il a décidé de prendre du recul pendant un certain temps, mais ce n’était que temporaire. Au club, on le savait parfaitement. On sait qu’il est très attaché à son comité. Il avait juste besoin de prendre du recul et maintenant il va revenir avec toute l’énergie qu’on lui connaît. C’est une très bonne chose pour Seko et pour les éléphants !Sans surprise, le Real Madrid et le FC Barcelone sont toujours en tête, avec respectivement 112 et 106 millions d’abonnés.
Quel club est le plus riche en 2021 2022 ? 1.Manchester City. L’époque où Manchester City comptait sur ses propriétaires milliardaires pour être sa plus grande source d’argent est révolue. Les champions en titre de la Premier League étaient l’équipe la plus riche la saison dernière, avec 644,9 millions d’euros !Avec une valorisation de 5 milliards de dollars, soit 6% de plus qu’en 2021, le FC Barcelone arrive en deuxième position du classement.Selon Forbes, le Real Madrid devance ainsi légèrement le FC Barcelone, Manchester United, Liverpool et le Bayern Munich.
Voici un aperçu des 20 clubs les plus riches du monde en 2021, selon Forbes. Le FC Barcelone appartient à des membres du club et a pour la première fois pris la première place en tant que club de football le plus riche du monde.Avec 130 millions de dollars de revenus bruts avant impôts au cours des 12 derniers mois, Lionel Messi est en tête du classement annuel Forbes des athlètes les mieux payés au monde pour la deuxième fois.Exclusif | Classement des sportifs les mieux payés au monde en 2022 : Lionel Messi de nouveau au top ! -ForbesFrance.

Lionel Messi (Football) : 130 millions de dollars En 2022, Lionel Messi a une fortune de 130 millions de dollars. Il prend la première place du classement des sportifs les plus riches du monde selon Forbes.

Quel est le club de foot le plus nul ?

Le Real Madrid le club le plus « riche » d’Europe, le PSG et l’Olympique dans le top 20.

Voici un aperçu des 20 clubs les plus riches du monde en 2021, selon Forbes. Le FC Barcelone appartient à des membres du club et a pour la première fois pris la première place en tant que club de football le plus riche du monde.

Qui est nul au foot ?

Forbes. CLASSEMENT | Les sommes insensées collectées lors des compétitions de football européennes expliquent en grande partie pourquoi le Real Madrid, qui vaut 5,1 milliards de dollars (une augmentation de 7% par rapport à 2021), a retrouvé la première place.

Quel est l’équipe la plus nul au foot ?

Classement

Quel est le pays le plus nul au foot ?

Équipage

Quel est le pire club d’Europe ?

Score total

Quelle est le pire club de foot du monde ?

1

Quel est le plus nul club de France ?

Brésil

Quel est le pays le plus nul au foot du monde ?

1833

Quelle est l’équipe de foot la plus nul ?

2

Quel pays n’a pas d’équipe de football ?

Belgique

Qui crée le foot ?

1827

3

Qui a inventé le football en France ?

France

Quel est le premier club de foot en France ?

1790

Qui a créé le football en quelle année ?

4

Quand le football a été inventé ?

Argentine

Quand existe le football ?

1765

Comment a été inventé le football ?

Quel pays compte le plus de stars du football ? Le Brésil, seule équipe à avoir disputé toutes les phases finales de la compétition, détient le record d’éditions remportées avec cinq succès. L’Italie et l’Allemagne ont quatre étoiles. L’équipe gagnante de la première édition, l’Uruguay, a remporté l’épreuve à deux reprises, tout comme l’Argentine et la France.

Quelle est l’origine du mot football ?

Ibis Sport Club, autoproclamé le pire club du monde. Ce titre n’est pas officiel, mais le club détient tout de même des records aussi « impressionnants » : en 70 ans, l’équipe a encaissé 3 550 buts et n’en a inscrit que 62.

Qui a inventé le football en France ?

Quel est le club de foot le plus stupide de France ? Mais il y a une équipe de plus grande stature, le RC Lens, qui détient le triste record du moins de points sur une saison avec un total de 17 points en 1988-1989, soit 27 défaites, 8 nuls et seulement trois victoires.

L’équipe qui marque le plus de buts pendant le match gagne. Lorsque les deux équipes marquent le même nombre de buts ou aucun but, le match est déclaré nul.

Qui a créé le football en quelle année ?

Ibis Sport Club, autoproclamé le pire club du monde. Ce titre n’est pas officiel, mais le club enregistre tout de même des statistiques « impressionnantes » : en 70 ans, l’équipe a encaissé 3 550 buts et n’en a inscrit que 62.

Quand le football a été créé ?

L’équipe nationale de Saint-Marin est parfois considérée par les journalistes sportifs comme la pire équipe nationale de l’histoire du football de tous les temps, en raison de son classement FIFA et de ses résultats statistiquement affamés (un seul match gagné depuis ses débuts, avec une moyenne de 4,2 buts…