La culture du tabac a disparu à Cahors, grâce au CBD elle peut renaître de ses cendres

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Bérangère Belon entretient la flamme allumée par Alain, son beau-père, il y a des décennies à Cahors, quand sa production de tabac tournait à plein régime. Vous avez une idée. Un plan entièrement sans fumée qui s’appuie sur la culture du CBD pour améliorer ses performances. Les machines conçues par Alain Belon sont prêtes. Parallèlement, l’ancien site de la Maison du tabac, à Cahors, est devenu un centre dédié au dépistage du cancer. L’action aléatoire et la vérité de la santé.

Nom  : Belon. Prénom : Alain. Signe unique  : génie.

Ce Cadurcien décédé en 2021 était Monsieur Tabac à Lota. Pendant des décennies, il a conçu et construit des machines d’une grande révolution technique. L’un d’eux permettait de trier les feuilles de tabac selon différents critères de qualité.

Bérangère entretient la flamme

Bérangère, pour sa part, a beaucoup développé la ferme maraîchère familiale (Lo’caVhors, route de Villefranche). Son beau-père était connu et connu pour son travail et ses négociations passionnées lorsqu’il s’agissait de gérer la vente de ses produits à la Manufacture des tabacs de Cahors, aujourd’hui contrôlée contre le cancer.

Elle surprend face à la première cause de cancer en France et dans le monde. Nous avons atteint une production de 90 000 pieds par an. Ensuite, nous avons planté des graines de tabac pour d’autres producteurs. Nous avons ouvert Lo’caVhors en 2015 tout en poursuivant le travail du tabac (plantation, cueillette, séchage, vente). Cette offre s’est arrêtée en 2016 chez nous. Lorsque la Manufacture près de l’hôpital de Cahors est fermée, tout devient difficile pour tous les producteurs de tabac de Lota. Quand nous avons fermé, notre tabac a été emmené à Bergerac pendant un moment, mais nous n’assistions plus aux différentes réunions des cotations » explique Bérangère.

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La culture du CBD à Cahors attend le feu vert ? 

Rien n’était pareil. L’ambiance, l’enthousiasme. La profession qui se portait bien entre 1970 et 2000 a perdu de sa vigueur. Bérangère, qui savait produire un grand jardin maraîcher dans sa région, vendant à l’époque des produits locaux dans son magasin, ne perdit pas espoir de remettre le tabac sur le devant de la scène agricole du Lot.