Franprix, Monop’, Monoprix, Leader Price, Picard, Stokomani, Maxi Bazar, Marché Frais Local, La Marnière, Jardiland, Gamm Vert, Delbard, Jardineries Locales, Dya Shopping, Boulangerie Louise, Bio&Co, l’animalerie Noa . Vous devez connaître au moins un de ces types. L’homme qui dirige toutes ces entreprises s’appelle Moez-Alexandre Zouari.
En région parisienne, il a un magasin tous les 300 mètres.Puisqu’il est persuadé que le commerce physique a encore de l’avenir, il fait face à la vente en ligne et estime que le secteur chez lui vous aurez encore des contacts dans lesquels il est clair que vous êtes désireux de participer activement. Revenons sur le parcours de cet homme d’affaires dans l’âme, ainsi qu’un homme d’affaires lié au terrain, un véritable gestionnaire de l’industrie dont les connaissances et la stratégie ont montré tout son succès et dont l’ambition est sans limite.
Moez-Alexandre Zouari, né en 1971 est un Français d’origine tunisienne. Il est le fils et le petit-fils de vendeurs de biscuits et de sucre qui a passé son enfance dans la boutique textile de sa mère où il a appris les mathématiques, la négociation, la vente, sans oublier la relation avec les vendeurs et les clients. Bref, les affaires sont dans son sang et dans sa peau.
Il rencontre sa future épouse en première année du lycée Hélène-Boucher. C’était un bon et enthousiaste élève de Mathématiques, il a commencé des études de commerce à Dauphine, puis il s’est marié.
Sa mission et sa vision, qu’il partage avec sa femme, peuvent se résumer en une ligne :
Soyez la « garde-robe » et le « réfrigérateur » des Parisiens.
Ils ont démarré leurs activités au début des années 1990 en installant des magasins de proximité dans les stations-service pour Elf.
Puis, enfin, ils se lancent seuls, faisant leur propre travail, se répartissant clairement le travail :
-Moez-Alexandre Zouari dans le business et le développement du réseau en ligne en achetant des magasins et en faisant la publicité -et l’organisation- des données de vente.
-Soraya Zouari dans la gestion d’équipe (via la gestion des ressources humaines), la finance et l’administration. Pour assurer la gestion au quotidien, il s’appuie sur des moyens informatiques.
Ainsi dès 1998, le couple se met à la recherche de petits commerces parisiens non rentables, parfois en faillite, pour les racheter. Ils créent une carte qui montre toutes les entreprises qui sont à risque. Et depuis des mois, Moez-Alexandre Zouari distribue sa carte de visite aux propriétaires pour qu’ils puissent le contacter pour la vente.
Leur premier achat est un magasin Franprix de 400 m2 – en tant que commerçant – au 88 boulevard de Ménilmontant dans le 20e arrondissement.
Leurs carnets regorgent d’idées et remplissent leurs étagères pour asseoir leur crédibilité en cherchant à séduire toutes les cibles et sélectionner leurs produits en fonction de valeurs. Le couple y habite, y passe ses journées et une partie de ses nuits, ils continuent à visiter Rungis le matin et ouvrent leur boutique avec l’important « métier » comme boussole.
Une formule simple : choisir l’emplacement et comprendre son client.
En moins d’un an, ils ont inauguré le deuxième Franprix, très proche du premier. Les progrès s’accélèrent. Ils ont rapidement exploité sept magasins, avec des « livres d’or » pour recueillir les commentaires des clients. Leur banquier est assuré de résultats et de plans probants. Fidèle à son projet initial, Moez-Alexandre Zouari ouvre une dizaine de magasins par an, avec une stratégie de culture de la lampe.
Signature d’un partenariat stratégique
De l’argent qui coûte de l’argent. En 2003, le groupe Casino, dirigé par Jean-Charles Naouri, prend 40% du capital de leur société (Pro Distribution) et leur permet de passer à l’échelon supérieur. En 2005, ils rachètent le groupe breton qui dispose d’une école de formation pour leurs salariés.
Devenez des Master-franchisés Casino (Franprix, Leader Price, Monop’, Monoprix). Avec environ 500 petits marchés et remises pour atteindre le pic d’activité, début 2018, de plus de 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires. Moez-Alexandre Zouari progresse constamment. Même les vacances d’été sont pour eux l’occasion de joindre l’utile à l’agréable en équilibrant affaires avec leurs trois filles (Chine, Hong Kong et Etats-Unis). Parce qu’il valorise le commerce local, il observe attentivement les tendances des nouvelles générations.
Alors que la plupart des magasins du groupe Casino perdent de l’argent, Moez Alexandre Zouari entend aider le groupe en transférant nombre d’entre eux. Jean-Charles Naouri lui fait confiance car il sait qu’il est le meilleur pour redresser « l’épicerie » en difficulté. Avant une trentaine de magasins Leader Price bretons, aujourd’hui, huit ans plus tard, de nombreux magasins Franprix et Leader Price ainsi que plusieurs casinos : 337 magasins ont changé de mains entre 2015 et 2018 seulement.
De temps en temps, ils créent des joint-ventures, 51% pour Zouari et 49% pour Naouri, et pour l’option d’achat. Beaucoup d’observateurs critiquent cette démarche en 2018, ce transfert permet au groupe Casino de cumuler l’endettement et les déficits de ses magasins afin d’afficher de meilleurs résultats financiers. Ce sont avant tout des choses pour le franchisé de contreparties difficiles à lire dans les rapports.
Depuis 2017, le family office Zouari, à Sèvres, dirigé par Edouard Lacoste, ancien entrepreneur immobilier, travaille sur de nouveaux investissements, et comprend environ 150 magasins Monoprix, Monop’ ou Franprix. Distribution de Pro.
En octobre 2018, Moez-Alexandre Zouari crée, près des Champs-Élysées, le magasin « 4 Casino », un magasin « ultra-connecté » au style 3.0, taillé, construit, imaginé et conçu pour convaincre les propriétaires de Picard qu’il est un homme pour le travail. Cette boutique, devenue un symbole, un bijou et un symbole de sa classe, est l’une des boutiques les plus intéressantes de Paris, avec ses mosaïques, son lustre, ses sushis sous l’œil attentif du client et son chai connecté. . Son « idée » a été copiée jusqu’en Chine. Lors de son dernier Franprix, rue Scribe, il a même installé un sapin grandeur nature au centre du magasin.
« Lorsqu’on n’a pas le nom, il faut savoir foncer plus vite que les autres »
Jean-Charles Naouri lui fait part de son désir de vendre le réseau du responsable des achats chez Aldi, Moez-Alexandre Zouari est plus intéressé, mais le processus de vente était déjà en cours. Le groupe Casino a une structure faible et Picard représente bien sûr l’objectif de son option de performance à 15 %. Alors, Moez-Alexandre Zouari organise. Depuis deux ans, leurs 140 magasins sont revenus tranquillement au Casino. Pour payer cet achat, il vendit 198 magasins Leader Price (en France) à Casino, que Naouri revendit à Aldi dans le cadre d’un deal global sur Leader Price, ce qui lui rapporta un chèque de plus de 100 millions qui serait investi dans Picard.
Fin 2019, Moez Alexandre Zouari a donc versé 156 millions d’euros (une somme jugée juste) au fonds d’investissement suisse Aryzta pour acquérir 44,5% du capital de Picard, ce qui a rapporté plus de 1,4 milliard d’euros. .Il décrit la chirurgie comme son « rêve d’enfant » et sa plus grande fierté. Elle lui permet surtout d’asseoir sa crédibilité et sa visibilité dans le paysage français des affaires. Il a réussi à convaincre l’actionnaire britannique Lion Capital et le fonds ICG de participer au financement. Il se rend pour cela à Londres, en plus d’être anglophone, pour détourner le fonds Lion Capital et son co-fondateur, Lyndon Lea. La vision de Moez-Alexandre Zouari est claire : travailler avec la livraison à domicile, diversifier la livraison, rendre les clients sains, et ajouter la version numérique.
« Vous avez besoin de quelqu’un qui met les mains dans le cambouis »
Cet événement prend plus de sens lorsqu’il passe devant les familles Moulin (Galeries Lafayette) et Arnault (LVMH), également en lice. L’arrivée de Lion Capital et du groupe Zouari au capital de Picard vise à mettre un terme aux habituels changements de propriété et LBO menés par divers fonds financiers.
Porté par le profit et sûr d’attraper la pépite, sa participation dans Picard monte à 49% en 2022.
C’est le premier accord qu’il signe sans mentionner Jean-Charles Naouri. Depuis qu’il avait été prévenu hier, il n’appréciait pas, d’autant plus que son fils Gabriel étudiait également le dossier. Il a été surpris car ils sont encore très proches en affaires. Naouri détient 70% de Pro Distribution, la principale société de Moez-Alexandre Zouari, où résident la plupart de leurs Franprix.
Un plan de conquête impérial
En juin 2020, Moez Alexandre Zouari annonce entrer en négociations exclusives pour acquérir une participation majoritaire dans Bio c’bon, propriétaire de 158 points de vente et en difficultés financières. Il dépose une OPA de 10 millions d’euros, proposant de reprendre l’ensemble des magasins ainsi que 70 millions d’euros d’investissement. C’est finalement le groupe Carrefour qui remporte le siège du conseil commercial, proposant un prix d’achat de 60 millions d’euros.
En septembre 2020, Moez-Alexandre Zouari rejoint les propriétaires du Monde pour créer 2MX Organic, une société cotée visant à acquérir des sociétés dans le domaine des biens de consommation. Il est le directeur général de la société et compte investir, directement ou indirectement, 30 millions d’euros.La nouvelle société à but lucratif (SPAC) prévoit de « lever » 300 millions d’euros auprès d’investisseurs.
Le début de l’émancipation
Nous comprenons son impatience. Celui qui avait plein d’idées était toujours très pressé au Casino par la stratégie et les explications formelles en tous genres. La libération commence et il n’y aura pas de retour.
En 2020, leurs activités sont réparties à 60 % dans l’alimentation locale et à 40 % dans l’immobilier. La famille Zouari possède près de la moitié des murs de son espace commercial. Elle a essentiellement doublé ses acquisitions, une activité de croissance externe financée par son patrimoine immobilier. Cette dernière permet de soutenir leur croissance avec une dette très réglementée et des dividendes raisonnables.
Il se rend vite compte que le secteur alimentaire représente un grand nombre de contraintes. Pour se démarquer dans le monde du discount, il est important d’avoir des prix avantageux pour pouvoir vendre ses biens à petits prix. Cela explique son envie de se lancer dans sa course vers la grandeur.
Pour être le champion qu’il aspire à être, il commence à en vouloir de ne pas manger. Mi-2021, Moez-Alexandre Zouari contacte Philippe Ginestet, le directeur de Gifi, lorsqu’il décide d’ouvrir le capital de sa société. Hélas, le vendeur en demande trop. Moez-Alexandre est toujours déterminé à grandir et à développer son entreprise.
Sa principale préoccupation est de démarrer l’un des principaux acteurs du discount non alimentaire en France avec l’objectif d’atteindre le milliard d’euros dans un court laps de temps. En concurrence avec Action, une marque néerlandaise très performante.
L’avenir de la diversité est arrivé. Moez-Alexandre Zouari rejoint la chaîne Maxi Bazar : marque de décoration, de mobilier, d’art de la table et de bazar avec le fonds Naxicap Partners, devenu actionnaire en décembre 2017. Avec 93 magasins en France et en Suisse (62 en France et 31 en Suisse). La société a réalisé plus de 250 millions d’euros de chiffre d’affaires, dont 20 millions d’euros d’EBITDA ; Tout comme ce que fait ‘Stokomani’, ‘Maxi Bazar’ proposera bientôt des produits de marque sous sa direction.
Moez-Alexandre Zouari rachète Maxi Bazar en novembre 2021. En janvier 2022, il détient les clés de la marque professionnelle et nomme le directeur général, Jean-Marie Pomarès, au poste de PDG. Et il lui donne tout de suite pour objectif de rejoindre rapidement Gifi et Action en approchant les milliards d’euros en argent. Vous décidez de choisir les meilleurs endroits pour faire vos courses, pour identifier, par exemple, le prix le plus bas ou les départements qui arrivent.
En décembre 2021, Moez-Alexandre Zouari est entré en négociations exclusives avec Jean-Jacques Namani et le fonds d’investissement Sagard pour acquérir Stokomani, l’un des pionniers du déstockage en France, qui a été sous sa direction en avril 2022, et 127 magasins. 575 millions d’euros au total en 2021 et plus de 12 000 références.
Malgré ces restrictions, Moez-Alexandre Zouari continue de participer au groupe Casino en maintenant plus de 100 magasins Franprix et Monop, directement ou indirectement via la structure de distribution Pro (dont Casino est l’un des actionnaires). Elle a également décidé d’étendre son partenariat historique et stratégique avec pour seul objectif l’ouverture de 75 magasins.Ainsi, Moez-Alexandre Zouari est un acteur majeur de l’enseigne Franprix, dont le stock est désormais à 75%.
En mars 2022, 2MX Organic s’associe à InVivo. InVivo Retail, filiale de distribution d’InVivo, est actuellement détenue à 60 % par InVivo et à 40 % par les actionnaires de SPAC, dont 10 % par les fondateurs. InVivo Retail compte 1 600 jardineries, soit 40 % du marché français. L’objectif est de distribuer des produits frais (boulangerie, boucherie, poissonnerie, fruits et légumes) sous la nouvelle enseigne « Le Grand Marché – Frais d’ici » à proximité des jardineries et animaleries.
« On voit la polarisation de la consommation, et une partie de la population recherche la qualité, l’excellence opérationnelle, le cinq étoiles. Et une autre où le client a besoin de prix, car le problème du pouvoir d’achat sème la confusion. »
En décembre 2021, Moez-Alexandre Zouari a racheté La Marnière, une chaîne de trois magasins qui vendent des produits frais dans les Yvelines et a généré moins de 50 millions d’euros.
« Chez nous, la star, c’est le produit et l’humain »
A La Marnière il y a une large production, avec 300 à 400 références selon la saison, mais aussi de la profondeur, par exemple, 20 variétés de tomates et 15 fraises, ce qui permet d’avoir un panel de prix différents.
Quant aux gens : une soixantaine d’employés, soit « au moins trois fois » plus que Grand frais et même plus que dans la distribution de nombreuses personnes, conseillent des clients satisfaits, racontent l’origine de tel ou tel produit, ou ils coupent des melons devant leur. .
« En fait, les Français sont gourmands, ils veulent pouvoir prendre le temps, discuter, comparer, faire des achats plaisir »
A côté de ces fruits et légumes, qui représentent 40% des ventes, le rayon alimentaire – entouré d’une boulangerie, grill, poissonnerie, etc. – seul jusqu’à 30% supplémentaires.
« Contrairement aux hypers, qui ont galvaudé la notion de prix, nous revendiquons des produits locaux, en circuit court, au juste prix pour les consommateurs mais aussi pour les producteurs »
Il faut attendre pour vérifier, Le magasin vise 20 millions d’euros d’ici 2022. L’ouverture d’un magasin similaire en 2023 ou 2024 à Paris est prévue.
Comment expliquer son succès ? Il présente de nombreux avantages :
1-Toujours présent sur les carreaux. A partir de 8h00 à 21h00, week-ends inclus, il fait un effort supplémentaire lors de chaque nomination pour y insuffler sa vision, son style, son système et sa stratégie.
Il va d’un magasin à l’autre, réparer la caisse réfrigérée, vérifier l’état de la marchandise ou s’assurer de la ponctualité des employés. Il secoue fréquemment ses équipes, parfois avec insouciance. Sa Mercedes avec chauffeur ne peut plus l’emmener partout. Il demande donc à tous ses managers de lui envoyer chaque jour des photos de leurs rayons. Ce sont 800 photos quotidiennes qu’il déplace et lit sur son ordinateur portable. Vous donnez des likes ou réparez un tas de pommes égarées à distance, par exemple.
2-Adaptation et véritable passion pour le client, qui le pousse à s’adapter à ses conditions et à sa stratégie dans presque tous les domaines de vente. Pour son Monop’ chic avenue Bugeaud à Paris, il a mis le vin en évidence sur la porte car il s’est rendu compte que le quartier n’avait pas de cavistes et que les clients à fort pouvoir d’achat pouvaient très bien l’apprécier. Alors que dans son Franprix Opéra, plein de touristes, le même jus monte à 1,99 euros au lieu des 1,59 habituels.
3-Un bon gestionnaire. Dès qu’un nouveau magasin rejoint « son » réseau, il renégocie le loyer, avant de dégraisser le coût à la ligne pour le réduire. Il a fait une étude et a constaté que les travailleurs à temps partiel étaient environ 3 fois moins susceptibles que les travailleurs à temps plein. Alors, laissez tomber les travailleurs à temps partiel. Vous n’avez pas à vous soucier de la gestion des coûts salariaux ou de la fermeture des magasins non rentables. Plus de 70 ont fait tomber les rideaux depuis 2016.
4-Sa force : Trouver les bons endroits. Il n’est pas concerné par les restrictions ou réglementations relatives aux actionnaires. Il y va, sans crainte de poursuites, tant que son épicerie est ouverte. Rue des Haudriettes à Paris, deux anciens commerces chinois étaient séparés par un mur porteur. Boum, un gros trou dedans et voilà un bon Franprix.
5-Des magasins au design unique et à l’innovation moderne : Parfaits, exigeants et soucieux de l’expérience client : Après chaque première visite, Moez Alexandre Zouari dessine un rapide croquis sur l’ardoise blanche, que ses équipes décrivent et modifient. Plan. Alors faites attention à sa visite du site. Comme il veut, il peut tout changer jusqu’à la veille de l’ouverture. « Au Monop’ de la rue Saint-Dominique (Paris), il s’est trouvé sans âme et a demandé qu’on installe un vrai bar à la place des caisses.
6-Créatif : Il vient toutes les semaines chez ce Picard en bas. Cycles courts, viande française, produits bio, vegans, sans gluten, ambiance chaleureuse… Il pose son avis sur cette enseigne : « Les millennials veulent des légumes frais mais en jettent un tiers en fin de semaine, ici ils ouvrent leur sac de brocolis, prenez-en trois, fermez-le et évitez tout gaspillage alimentaire ».
7-Un parrain fort et courageux où toutes ses activités d’acquisition immobilière sont financées par son patrimoine immobilier. Cela lui permet de financer sa croissance. La dette est également gérée avec des ratios très raisonnables.
Depuis plus de 25 ans, ce couple s’attache à construire le plus grand chantier de l’agroalimentaire français.
Cette liste de plats à emporter n’a rien fait pour freiner son appétit et sa détermination. Au contraire. Il va bien et son appétit brûle. Accepter le rebond comme base de sa stratégie. Sur ces bases et sa force de faiseur de pluie professionnel, il « donne ».
Une situation d’urgence. Un homme de terrain, un homme de conviction, pragmatique et réaliste. Le chiffre le prouve, sa fortune, qui grimpe à 200 millions d’euros, atteint désormais (et plus) le milliard d’euros.
Les ingrédients de son succès ? Vision, persévérance, passion, travail acharné, tact, réussite, créativité, écoute des attentes des clients, confiance en soi et confiance en son entreprise, une ambition sans limite qui a eu le temps de bondir depuis plus de vingt ans.
Rien ne peut arrêter son ascension, il est la fierté de sa famille, de ses proches et de sa communauté. Et maintenant, il travaille avec les générations futures sur le concept de base de l’héritage solide. Peut-être assistons-nous à la création d’une nouvelle dynastie d’entrepreneurs ?
Quoi qu’il en soit, gageons qu’il y aura de plus en plus de « Moez-Alexandre Zouari » : c’est-à-dire des gens qui ont un bon sens du timing et qui savent éclore pour donner tout leur potentiel. leurs capacités. Exemplaire et humble. Travail dur et facile. Passionné et chaud. Dévoué et inspiré.
Même si les experts, les médias et la reconnaissance publique tardent, il vaut toujours mieux laisser parler le succès – et ces derniers savent beaucoup parler – surtout si vous pouvez vous vanter d’avoir su innover un business adapté au 21ème . siècle, changeant de rôle et devenant l’un de ses leaders incontestés.
MEJRI BassemEntrepreneur, Professeur à l’Ecole Supérieure de Commerce et éditeur de Millionaire Next Door (en français code ISBN : 9782491492007) et Your Money or Your Life (ISBN : 9782491492083).