Les critères d’approbation réglementaires pour une société de cryptographie varient d’un pays à l’autre. Au Royaume-Uni, la réglementation cryptographique devrait être plus stricte. Pour preuve, seules 41 entreprises sur 300 ont obtenu l’agrément FCA complet au cours des deux dernières années. Une situation qui décourage de nombreuses sociétés de cryptographie. De plus, la plupart d’entre eux ont décidé de quitter le processus.
Régulation crypto : une grande divergence entre les États-Unis et le Royaume-Uni
Après la chute de FTX (et même avant), le Royaume-Uni a imposé un cadre réglementaire cryptographique plus strict et plus efficace. Selon une déclaration de Sarah Pritchard (actuelle responsable de la FCA), plus de 85% des entreprises en attente d’approbation réglementaire au Royaume-Uni ne répondent pas aux critères requis. Pourtant, ces mêmes entreprises opèrent entièrement aux États-Unis.
C’est notamment le cas pour les threads et B2C2. L’une est une plate-forme de paiement cryptographique et l’autre un fournisseur de liquidités d’actifs numériques. Tous deux ont préféré quitter les étapes de la réglementation cryptographique au Royaume-Uni.
Les sociétés crypto ne respectent pas les normes minimales requises, dixit la FCA
Selon le dernier rapport publié par la FCA, seules 41 sociétés de cryptographie sont répertoriées dans le registre. Cela représente près de 15 %. Pour expliquer ce pourcentage relativement faible, Sarah Pritchard évoque le non-respect des normes minimales requises.
« Dans le cadre du processus d’enregistrement, nous avons identifié des lacunes importantes dans les contrôles clés tels que la diligence raisonnable à l’égard de la clientèle, les évaluations des risques, les transactions et la surveillance et la gouvernance continues », a-t-il déclaré.
Selon la FCA, certains gestionnaires manquent d’expérience et de connaissances pour gérer efficacement et en toute sécurité leur entreprise de cryptographie. D’autres manquent de transparence.
Grâce à un cadre réglementaire cryptographique strict, le Royaume-Uni vise à devenir le leader mondial des actifs numériques. Malheureusement, les exigences du régulateur crypto britannique sont trop élevées pour certaines entreprises. Rien qu’à voir les statistiques d’approbation, beaucoup d’entre eux préfèrent abandonner le processus.
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Je m’appelle Ariela et j’ai 31 ans. Je travaille dans le domaine de la rédaction web depuis 7 ans. Je n’ai découvert le trading et la crypto-monnaie qu’il y a quelques années. Mais c’est un univers qui m’intéresse beaucoup. Et les sujets abordés dans la plateforme me permettent d’en savoir plus. Chanteuse à mes heures perdues, j’ai aussi développé une grande passion pour la musique et la lecture (et les animaux !)