Dès la maternelle

Concernant la vue, selon l’Association nationale pour l’amélioration de la vue (ASNAV), « un contact régulier avec un ophtalmologiste (…), c’est donner toutes les chances à son enfant d’aller sereinement à l’école ».
D’autant plus que « si les problèmes sont détectés tôt, il sera plus facile de les régler et cela n’affectera pas beaucoup son école… Il est donc recommandé qu’il consulte un ophtalmologiste dès la maternelle puis à six ans, à l’époque ». son CP d’entrée. »
En effet, 80% des informations qui nous parviennent du monde extérieur passent par nos yeux et rassemblent à chaque instant environ la moitié de la partie active de notre cerveau. Et cela est particulièrement vrai à l’école où la vision des enfants est renforcée en écrivant, en lisant et en suivant les cours au tableau, par exemple.
Cependant, des problèmes de vision non traités peuvent entraver l’apprentissage et suivre une scolarité normale, d’autant plus que le nombre d’enfants âgés de 3 à 10 ans ayant des problèmes de vision a augmenté de 2 % depuis 2017 pour atteindre 34 % selon Ipsos, principalement en raison de l’augmentation de l’utilisation de téléphones intelligents. et les comprimés émettent des rayons bleu-violet dangereux pour la vue.
Jusqu’à 24 ans

Pour la santé dentaire, l’Assurance Maladie propose, à travers le programme M’T Dents, tous les trois ans, un rendez-vous et un soin chez le dentiste pour les enfants à partir de 3 ans et les jeunes jusqu’à 24 ans. Le faire avant la rentrée scolaire est un bon moyen de vérifier que les vacances n’ont pas fait de dégâts (nids de poule par exemple).
Quant aux vaccinations, le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse rappelle que les enfants doivent être vaccinés contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite (souvent associée à la coqueluche) pour pouvoir être scolarisés. La prévention de la rougeole, des oreillons, de la rubéole (ROR) et de l’hépatite B est également fortement recommandée.