Valérie Damidot, ambassadrice Weight Watchers, se confie sur son rapport à son corps.
© Weight Watchers
15.10.2022 à 09:03, Mis à jour le 15.10.2022 à 11:03
Le présentateur de télévision est l’ambassadeur de la marque du régime. Elle parle honnêtement de son image et de son envie de prendre soin d’elle.
Lors d’un atelier organisé par Weight Watchers, Valérie Damidot enfile son tablier pour un concours de cuisine et affronte un autre ambassadeur de la marque, Chris Marques. Dans une interview exclusive, l’animatrice de télévision a dévoilé quelques confidences sur le rapport qu’elle entretient avec son corps, ses habitudes alimentaires et son sentiment de culpabilité.
Pourquoi s’associer à une marque diététique ?Valérie Damidot. J’ai eu beaucoup de personnes au régime qui m’ont contacté, mais je pensais que c’était un peu comme « on vous vend un miracle », alors que chez Weight Watchers on vous réapprend à manger. Ce n’est pas pareil, on ne vous vend pas le rêve « tu vas perdre vingt kilos en deux jours ». Il y a une vraie communauté, je pensais qu’il y avait une énergie globale qui était super positive. Alors j’ai assez facilement dit oui.
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Quel message souhaitez-vous faire passer avec ce partenariat ?
Parfois, il ne faut pas grand-chose pour se sentir mieux. L’autosatisfaction n’est pas un gros mot. Souvent, les femmes se soucient vraiment des autres, de leur mari, de leurs enfants, de leur travail, mais elles s’oublient là-dedans. Et en fait, prendre soin de soi, c’est manger mieux, mais pas que chez Weight Watchers on vous propose de l’activité, de la marche, du mouvement. Lorsque vous prenez soin de vous, tout le reste est soudainement mieux. C’est un cercle vertueux.
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Prenez-vous le temps de cuisiner au quotidien ?
« J’ai encore cinq kilos en ligne de mire à perdre. »
J’ai toujours aimé ça. Quand les enfants étaient petits et que je travaillais beaucoup, le dimanche en fin de journée, je passais quatre heures dans la cuisine à leur préparer la nourriture pour toute la semaine dans des plateaux, car je ne voulais pas qu’ils mangent du rassis. Quel. Et ils aiment cuisiner, parce que nous l’avons fait ensemble. Je pense que c’est important car c’est le moment où l’on s’installe, seul ou en famille. C’est un moment de complicité.
Valérie Damidot écoute les conseils du chef Merouan Bounekraft lors d’un atelier cuisine Weight Watchers à Paris le 4 octobre 2022.
« Ma fille me fait faire un cours de zumba, j’ai envie de me pendre. »
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Séraphine Roger
Vous fixez-vous plus de limites ou d’objectifs ?
Je n’aime pas quand il y a une limite de mots. Ce n’est pas mon caractère. Au lieu de cela, je me suis fixé des objectifs. Par exemple, je ne ferai pas beaucoup d’activité physique aujourd’hui, donc je cuisinerai différemment ce soir. Je ne me donne pas de règles, je ne suis pas très doué avec les règles. Je me donne des objectifs.
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